Encore une nuit d'insommnie

Mana s'était couchée tôt ce jour la parce que pour une fois elle voulait se reposé. Bon à vrai dire s'était plutôt son oiseau de feu qu'il y avait contraint mais bon pour une fois elle l'avait écoutée et s'était doucement glissé dans son lit ne tardant pas à succombé à tous ce sommeil qu'elle avait en retard. S'aurait put être une nuit paisible sa aurait peut être même du l'être Omois était calme se soir rien ne devait la dérangée et pourtant elle se réveilla en sursaute à minuit. Décidément la mort de ses parents et de son ancienne Haute Mage ne cesserait jamais d'hanté ses rêves et de l'empéché de passée une nuit complète. Son familier comme d'habitude se réveilla en sentant la peur de sa compagne d'âme. Elle le caressa doucement pour le tranquillisé afin qu'il se rendorme et qu'elle vagabonde comme à son habitude dans les couloirs mais cette fois il refusa de se rendormir et lui fit comprendre qu'il voulait l'accompagné. Si s'était son choix, Elle n'y voyait aucune opposition. Il prit donc sa place sur son épaule et elle sorti en sa compagnie. Evidemment avec un oiseau de feu sur son épaule elle était nettement moins discrète mais aucune garde ne lui dit quoi que ce soit. Soit parce qu'ils avaient l'habitude de la voir vagabondé dans les couloirs, soit pour ne pas troublée ses pensées ou encore parce que bien qu'elle venait de se levé elle semblait parfaitement réveiller et capable de leur faire regretter le moindre geste qu'elle n'approuvait pas en les transformant par exemple en crapaud. Ce qui n'avait rien d'original mais elle n'avait pas envie d'être original. Sans même qu'elle n'en ai elle même conscience ses mains irradiait de sa magie bien qu'elle ne comptait pas vraiment s'en servir actuellement encore que s'était une bonne façon d'occupé le temps mais sa ne lui vint pas à l'esprit à ce moment la. Contrairement à cette longue promenade de détente qui ne marchait d'ailleurs pas le moins du monde parce qu'elle ne se sentait ni détendue ni plus calme au contraire elle avait l'impression que sa empirait de seconde en seconde elle se sentait même oppressée.